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Une session sous haute tension
Prévue pour se tenir le 1er octobre 2014, la rentrée parlementaire avec une session ordinaire pour l'examen du budget 2015. Une rentrée qui s’annonce en l'absence du président de l'Assemblée, Hama Amadou qui a fui son pays depuis le 28 aout dernier dit-il pour des « raisons de sécurité ». Cette vacance de poste donne un espoir politique à la majorité qui a beaucoup besoin de ce perchoir
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Entretien avec Mme FOUMAKOYE N. Aicha
« Les jeunes doivent investir les principales voies d’accès à la politique… »
Vous avez beaucoup œuvré pour le renforcement du pouvoir politique des femmes à travers une panoplie de messages et d’actions notamment la loi sur le quota. Pensez-vous que cette stratégie expérimentée par le Niger peut-être utilisée pour favoriser la participation politique des jeunes?
Je voudrais tout d’abord préciser que le système de quota est une mesure d’action positive à caractère transitoire universellement reconnue dont l’objectif est d’assurer à chaque citoyen, sans distinction aucune, la possibilité de prendre part à la direction des affaires publiques. Le quota a fait ses preuves dans de nombreux pays du monde (Finlande, Norvège, Italie, France, Sénégal, Niger…).
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Entre pauvreté et préjugés socioculturels
L’avènement dans les années 1990, de l a démocratie et du multipartisme au Niger, a permis l’adoption de nombreux textes relatifs à l’égalité, à l’équité des sexes et au renforcement du pouvoir et l’autonomisation des femmes.
Les femmes, constituant plus de la moitié de la population nigérienne (environ 51% de la population totale), restent toujours la frange la plus défavorisée malgré l’existence d’instruments juridiques nationaux et internationaux légalement ratifiés par le pays. L’exemple le plus frappant est celui de la loi sur le quota qui accorde encore peu de place aux femmes dans les instances décisionnelles. Les obstacles à la participation politique des femmes sont nombreux et de différents ordres.
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Du début du processus à nos jours, quels constats?
Ladécentralisation a pour objectif, d’une part, de rapprocher les administrés de l’administration et d’autre part, de donner une certaine autonomie aux communes du point de vue de leur fonctionnement. Au Niger, ce processus a débuté en 2004, avec les premières élections municipales. Des élections qui ont consacré l’installation officielle des entités décentralisées dirigées par des élus. Cependant, de 2004 à aujourd’hui quel constat peut-on faire quant-à la vie des communes à statut particulier et de leurs démembrements.
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Pour mieux comprendre les enjeux et les défis
Le jeudi 26 juin 2014 s’est tenu au siège du syndicat national des agents de la douane (SNAD), un séminaire de formation politique d’une vingtaine jeunes issus de cinq arrondissements communaux de la ville de Niamey. Ce séminaire, le deuxième du genre, dont le thème a porté sur « les obstacles à la participation politique des jeunes : enjeux et défis » est une initiative de l’association Alternative Espaces-Citoyens appuyée par la Fondation ROSA Luxemburg.
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